Les Gens d'Oz

voilà une pièce que j'ai trouvé intéressante car elle aborde essentiellement le thème de la difficulté d'aimer...... trop ou pas assez..... que nous pourrions d'ailleurs résumer dans l'une des répliques d'Anna "" Quand tu tombes amoureux, à la différence de toutes les autres émotions, tu ressens aussi de l'espoir ; tout comme dans la passion, tu ressens du désespoir, et dans l'amour, de l'absence de peur. " J'ai trouvé le jeu des acteurs impliqué dans leur rôle respectif parmi un décor et une mise en scène originale dans l'histoire étrange de cet immeuble qui sommes toutes finit pas être cohérent au fur et à mesure qu'on se rapproche de l'intimité de chaque personnage.... Il faut dire que j'avais lu très recemment qlqes avis dans la presse qui n'étaient pas très élogieux, c'est pourquoi j'ai décidé ce soir là de me débarrasser des préjugés qu'aurait pu contaminé ma façon de percevoir ce spectacle....mm si je l'avoue je prends du plaisir à lire certaines d'entre elles ! Par contre la prochaine fois, avant de payer un billet au tarif plein, je demanderais lors de ma résa s'il y a un groupe scolaire, car effectivement ce soir là, les chuchotements de part et d'autres des gamins, ou le ronflements de ceux qui s'endorment.... auront qlqe peu altéré l'écoute de cette pièce qui nécessite de l'attention pour profiter des subtilités de l'évolution des relations de nos protagonistes...

Cette pièce est plutôt surprenante, amusante. La mosaïque de conversation dont parle le programme abouti à un spectacle cohérent, une progression intéressante. Le labyrinthe n'empêche pas une compréhension aisée, et on s'attache aux personnages quelques soit leur petits travers. Sauf peut-être Milla, imbuvable d'ambition et de prétention... Yoann Blanc est inénarrable, ces compères et compagnes ne sont pas en reste.