Anitya, l'impermanence
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Tisser, défaire, tisser encore... A l'impermanence des choses, l'artiste oppose notre increvable pouvoir de création.
De la gigantesque trame qui occupe le plateau et zèbre l'espace, il ne restera bientôt plus rien. Avec le temps, va, tout s'en va, tout s'effiloche. Les lignes qu'on croyait nettes s'évanouissent. Les cordages qu'on pensait solides cèdent à la moindre pression. Intime ou collective, aucune cathédrale n'est éternelle. Telle est la règle. Alors il faut rebâtir. Trouver, à partir du même matériau, de nouvelles architectures. Re-tricoter, tracer de nouvelles perspectives, redéfinir l'espace habitable. Renouer, ensemble, le fil de l'espoir. Tisser ; défaire ; tisser encore. Tisser autrement.
C'est autour de ce mouvement sans fin – celui de la vie-même – que la circassienne Inbal Ben Haim construit son spectacle. À l'impermanence des choses (anitya, en sanscrit), elle oppose notre increvable pouvoir de création et de recréation.
La distribution du spectacle ✨
Anitya, l'impermanence, les avis spectateurs
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À partir de 17,50 € - Réserver
À propos de Anitya, l'impermanence
Attention : les places sont limitées. Encore hésitant(e) ? Les avis des spectateurs qui l'ont déjà vécu seront d'une aide précieuse !
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