Dans le cadre du Festival Villes des Musiques du Monde
Vaiteani
Ecouter les Vaiteani c'est comme voir de la neige tomber sur un lagon. C'est inattendu et c'est beau.
Avec leur premier album sorti en 2017, ils vous ont conviés dans leur monde : des chansons folk en tahitien et en anglais, loin de tout cliché. Un timbre de voix et des mélodies dont il est impossible de douter de la sincérité. Des textes forts mis en valeur par des arrangements qui rappellent la dentelle des élégantes robes que porte la chanteuse lors de ses concerts.
Leurs passages remarqués aux Francofolies de Nouvelle-Calédonie, au Brive Festival ou encore à l'Olympia ont montré que le couple savait partager son univers avec un public souvent conquis dès les premières notes.
Aujourd'hui, les Vaiteani évoluent et font glisser leur " folk polynésien " originel sur les sentiers de la pop fluorescente et de l'électro fine. Une transposition accomplie avec beaucoup de grâce qui demeure fidèle à l'adn du duo. Toujours l'anglais parfait et le tahitien ancestral pour parler. Un deuxième album ambitieux qui marque, plus que jamais, la fusion de deux identités.
Le couple considère les chansons de ce deuxième opus comme les îles d'un archipel. Elles font partie d'un tout mais ont chacune leurs propres singularités, leur propre histoire... Les influences de Luc ont fait éclore " Homai ", un afrobeat à la tahitienne, unique en son genre ; " Reason " un tube folk à la Vance Joy ou encore " Kiss Kiss " une happy song au balafon sur fond d'électro. La sensibilité de Vaiteani suspend le temps et convoque l'émotion sur un piano-voix tel que " Heitiare " ou sur une balade comme " Signs ", titre qui baptise l'album pour rendre hommage à ceux qui nous ont quittés. Oui, dans cette musique, il est aussi question de spiritualité.
Les amoureux savent s'entourer. Ils collaborent à nouveau avec le réalisateur artistique David Grumel (The Pirouettes, Neeskens) avec qui ils co-réalisent le disque et sollicitent pour leur unique reggae " Angry " le producteur Manjul qui, depuis son studio Humble Ark à Bamako, s'impose comme l'un des maîtres du genre.
Difficile de mettre une étiquette sur la musique de ces deux-là. Ce qui est sûr c'est que le lien se fait, tressé comme les motifs que l'on retrouve sur les tatouages polynésiens et que le monde s'est approprié. Nul doute que les Vaiteani connaîtront le même succès.
Vaiteani : Chant, guitare folk
Luc Totterwitz : Guitare électrique, ukulélé, balafon, udu, choeurs
Cédric Gerfaud : Batterie, machines Laurent Bourquin : Son
Oya (1ère partie)
Oya est un groupe naissant mené par la mystique chanteuse Franco-Brésilienne Luiza. Après de nombreux featurings (Fakear, Mahom, Khoe Wa, Balaphonik Sound System, et bien d'autres), OYA voit le jour à la Réunion suite à sa rencontre avec le producteur, MC et accordéoniste Poussin (The Fat Bastard GangBand, Steel Alive...) donnant vie à une fusion entre l'univers Dub/Hip-Hop du producteur et ses influences World, ethniques et colorées. Fermez les yeux, OYA vous emmène en pèlerinage dans les étoiles peuplant l'imaginaire de la sorcière blanche Luiza, mis sur orbite par sa voix solaire et son dialecte mystérieux et envoûtant.
Luiza : chant
Poussin : MAO, MC, accordéon
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Pour tout public
à partir de 6 ans
Langue : français
Ecouter les Vaiteani c'est comme voir de la neige tomber sur un lagon. C'est inattendu et c'est beau.
Avec leur premier album sorti en 2017, ils vous ont conviés dans leur monde : des chansons folk en tahitien et en anglais, loin de tout cliché. Un timbre de voix et des mélodies dont il est impossible de douter de la sincérité. Des textes forts mis en valeur par des arrangements qui rappellent la dentelle des élégantes robes que porte la chanteuse lors de ses concerts.
Leurs passages remarqués aux Francofolies de Nouvelle-Calédonie, au Brive Festival ou encore à l'Olympia ont montré que le couple savait partager son univers avec un public souvent conquis dès les premières notes.
Aujourd'hui, les Vaiteani évoluent et font glisser leur " folk polynésien " originel sur les sentiers de la pop fluorescente et de l'électro fine. Une transposition accomplie avec beaucoup de grâce qui demeure fidèle à l'adn du duo. Toujours l'anglais parfait et le tahitien ancestral pour parler. Un deuxième album ambitieux qui marque, plus que jamais, la fusion de deux identités.
Le couple considère les chansons de ce deuxième opus comme les îles d'un archipel. Elles font partie d'un tout mais ont chacune leurs propres singularités, leur propre histoire... Les influences de Luc ont fait éclore " Homai ", un afrobeat à la tahitienne, unique en son genre ; " Reason " un tube folk à la Vance Joy ou encore " Kiss Kiss " une happy song au balafon sur fond d'électro. La sensibilité de Vaiteani suspend le temps et convoque l'émotion sur un piano-voix tel que " Heitiare " ou sur une balade comme " Signs ", titre qui baptise l'album pour rendre hommage à ceux qui nous ont quittés. Oui, dans cette musique, il est aussi question de spiritualité.
Les amoureux savent s'entourer. Ils collaborent à nouveau avec le réalisateur artistique David Grumel (The Pirouettes, Neeskens) avec qui ils co-réalisent le disque et sollicitent pour leur unique reggae " Angry " le producteur Manjul qui, depuis son studio Humble Ark à Bamako, s'impose comme l'un des maîtres du genre.
Difficile de mettre une étiquette sur la musique de ces deux-là. Ce qui est sûr c'est que le lien se fait, tressé comme les motifs que l'on retrouve sur les tatouages polynésiens et que le monde s'est approprié. Nul doute que les Vaiteani connaîtront le même succès.
Vaiteani : Chant, guitare folk
Luc Totterwitz : Guitare électrique, ukulélé, balafon, udu, choeurs
Cédric Gerfaud : Batterie, machines Laurent Bourquin : Son
Oya (1ère partie)
Oya est un groupe naissant mené par la mystique chanteuse Franco-Brésilienne Luiza. Après de nombreux featurings (Fakear, Mahom, Khoe Wa, Balaphonik Sound System, et bien d'autres), OYA voit le jour à la Réunion suite à sa rencontre avec le producteur, MC et accordéoniste Poussin (The Fat Bastard GangBand, Steel Alive...) donnant vie à une fusion entre l'univers Dub/Hip-Hop du producteur et ses influences World, ethniques et colorées. Fermez les yeux, OYA vous emmène en pèlerinage dans les étoiles peuplant l'imaginaire de la sorcière blanche Luiza, mis sur orbite par sa voix solaire et son dialecte mystérieux et envoûtant.
Luiza : chant
Poussin : MAO, MC, accordéon
Vaiteani | 1ère partie : Oya, les avis spectateurs
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Vaiteani | 1ère partie : Oya, toutes les séances
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À propos de Vaiteani | 1ère partie : Oya
L’événement Vaiteani | 1ère partie : Oya de type Musique du monde, organisé ici :
Studio de L'Ermitage -
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