Olivier Normand livre un tour de chant pour créature de cabaret d'une merveilleuse délicatesse et signe un spectacle sur les masques, les artifices et les atours dont on use pour se dévoiler.

Fruit de l'union passionnelle entre deux collectifs musicaux de haut-vol, voici venu Grand Tabazù !

Solo clownesque, Jubilä explore les sons tous azimuts et rassemble mille voix en une.

Le quartet se prête alors à toutes les improvisations, avec pour maîtres-mots de cette expérience hors-normes : énergie, complicité, audace.

Le metteur en scène Mathieu Bauer s'empare de ce film culte pour en livrer une adaptation lumineuse, critique subtile de la société de consommation.

Seule en scène dans sa robe de nymphe et sa couronne embroussaillée, créature antique, clown ou femme lyrique, elle traverse tous ses mondes.

Ce subtil alliage de jazz, musique traditionnelle coréenne et sons électroniques rend leurs morceaux à la fois rares et originaux.

Des folklores de tous bords composent un show haut en couleur.

Une histoire présentée comme réelle mais dont la part imaginaire est presque totale.

Ils s'attachent à défaire une conception normative et naturaliste de la dualité des genres, pour penser le caractère mutable et pluriel de l'identité.