Avis et critiques : La séparation | avec Catherine Hiegel et Léa Drucker

Texte introductif trop long et trop littéraire pour une pièce de théâtre, heureusement récité de manière parfaite...puis ça fuse de tous les cotés de personnages bien campés aux répliques irrésistibles ...mis en valeur par des acteurs de talent qui ne se ménagent pas !

Passionnant

La pièce peut sembler ennuyeuse au début mais l'ambiance monte crescendo. Les comédiens sont tous très bons. Catherine hiegel est formidable. Un grand merci aux bouffes parisiens!

Pièce vue hier soir. Le texte est superbe, forcément très bien écrit. Et s'agissant de l'interprétation, le casting est de haut niveau. Mention spéciale pour Catherine Hiegel, notamment un long monologue en fin de pièce, qui est une performance incroyable. Un grand moment de théâtre.

Comme dans ‘Mrs. Dalloway’ … l’histoire s’étire en longueur, et on a l’impression qu’il ne se passe rien. Pourtant, les personnages se révèlent (dans leur quotidien) avec leurs vérités, leurs secrets, leurs joies, leurs déceptions ! Quel texte ! Et quelle interprétation 👏

il faut accepter d'avance de sortir des habituels chemins attendus d'un spectacle théatral : aucune action mais un vrai momentde vie rendu par d'excellents acteurs (plaisir de retrouver C.Hiégel) . 4 personnages qui se laissent découvrir au moment où tous attendent l'annonce de la mort d'un proche parent. Beau moment de théâtre

Excellente interprétation, tout en finesse et justesse. Un plaisir de se retrouver dans ce théâtre.

Les gens toussent au début puis rentrent dans l'univers et la langue de claude simon.Catherine Hiegel est formidable mais les 3 / 4 autres acteurs sont aussi excellents. Et en plus on rit.

Un jeu d'une justesse incroyable, dans un beau théâtre. Ébahie que la "scène" jouée au deuxième acte par Catherine Hiegel ait été écrite par un homme !

Catherine Hiegel est exceptionnelle dans cette pièce, les autres comédiens sont bons, mais le texte est verbeux à souhait. Ça fait des circonvolutions dans tous les sens pour ne rien dire... pas d'action, la plume de l'auteur qui se regarde le nombril. Une longue soirée d'ennui ! Pour info, c'est la deuxième fois au monde que cette pièce est jouée, la première fois était en 1963... Eh bien, elle aurait dû rester dans les tiroirs...