Une soirée avec Anna de Noailles... ou l'oreille poétique

Je me laisse emporter par l'exaltation poétique de Diane dans ce superbe élan lyrique à mémoire d'Anna de Noailles, autrice des Éblouissements ! Deux êtres inspirants mués en une performance scénique inoubliable !

Un vrai plaisir d’être allée voir ou plutôt écouter ce spectacle ! Mon ami et moi avons passé un excellent moment. J’ai découvert la vie d’Anna de Noailles à travers sa poésie que nous a si joliment raconté Diane Lotus. Vous passerez, vous aussi, un très beau moment : dépêchez-vous !

Une soirée fabuleuse. Anne nous emmène avec conviction et justesse dans l'univers de Anne de Noailles. Tout est bluffant : la mise en scène, la parfaite diction de Diane Lotus, ... A ne pas manquer.

Un très beau moment de poésie et d’émotion. Diane Lotus a beaucoup de charisme et une belle générosité sur scène. Ça donne envie de découvrir Anna de Noailles, si attachante à travers elle. Un spectacle qui fait du bien dans la grisaille du quotidien.

Découvrez une expérience hors du tout, douce et onyrique avec Diane Lotus, ou plutôt le personnage intriguant qu'elle incarne avec beaucoup de passion : Anna de Noailles ! Amour, vie, mort, autant de thématiques abordées dans cette pièce où le 4e mur et brisé, où cette poétesse revient à la vie et partage ses pensées avec vous. Si vous êtes fan de poésie, de théâtre et voulez vivre un moment de grâce, allez y !

Une très belle pièce signée Diane Lotus! Un moment suspendu dans le temps, la comédienne nous transporte dans l'univers poétique d'Anna de Noailles. Tout en finesse, lyrique jusqu'au bout des doigts, dans la peau de la poétesse elle nous convie dans son salon et nous raconte son processus de création. Foncez la voir, vous passerez une très belle soirée.

Diane Lotus, maîtrise des textes et diction parfaites, met selon moi trop d’affèterie dans son phrasé, ce qui ne m’a pas permis de ressentir d’émotion. Quant à la mise en scène ... 45 minutes et spectateurs enrôlés comme figurants sur le plateau comme dans le salon mondain d’Anna de Noailles, je reste dubitative.