L'homme de Riom contre Scotland Yard

Cette pièce est un véritable bijou, une expérience théâtrale à ne pas manquer ! Benjamin Bollen et Iza Fleur forment un duo d'une alchimie parfaite, réussissant à captiver le public du début à la fin. Leur complicité éclatante sur scène nous transporte dans une aventure rocambolesque à travers les continents, mêlant humour, suspense et émotion. Le jeu des acteurs est exceptionnel, débordant d'énergie communicative, et leur interaction avec le public est tout simplement magique. On rit, on vibre, on chante avec eux sur des rythmes endiablés, plongés dans l'univers palpitant de leurs personnages. Les scènes s'enchaînent avec un dynamisme remarquable, nous faisant oublier le temps qui passe. Un grand bravo à ces deux artistes talentueux pour leur prestation impeccable et leur capacité à nous faire vivre un moment hors du temps. Préparez-vous à embarquer dans une aventure unique et mémorable. À voir absolument !

Un dynamisme sans faille, des chansons déjantées et entrainantes, une pianiste incroyablement pétillante et un Homme de Rion débordant d'énergie! Nous n'avons pas vu le temps passer et avons fini en farandole! Toute la famille de 4 à 70 ans a adoré ce troisième volet des aventures de Ben et Isa. Un grand bravo!

N'hésitez pas, allez suivre les aventures de l'homme de Riom ! C'est à ne pas rater, magnifique, drôle, joyeux. Benjamin Bollen et Isa Fleur sont au top !

Je suis allé voir L'Homme de Riom contre Scotland Yard, car j'avais eu des échos des deux premiers opus (que je n'ai malheureusement pas pu voir sur scène) et qui suivent les aventures fantasques de ce jeune provincial rêvant de devenir vedette de music-hall, toujours accompagné de son (in)fidèle pianiste. Benjamin Bollen a su s'approprier avec beaucoup de sensibilité et de créativité d'anciennes chansons françaises, parfois oubliées, ainsi que des chansons interlopes (issues de la subculture homosexuelle de l'entre-deux-guerres), assez méconnues du grand public. Ces chansons nous ont laissé des textes piquants, pleins de doubles sens savoureux, transformés ici en une trilogie : L'Homme de Riom. Sans trop en dévoiler, on retrouve dans cet opus des chansons comme " J'irais pleurer à Bilbao " de Régine, ici revisitée en " J'irais pleurer à Mexico ", " Nous n'irons pas à Calcutta " de Bourvil ou encore " Manneken Pis " de Maurice Chevalier. Il y a bien sûr un clin d'oeil à Fantômas à travers les titres des aventures de L'Homme de Riom et un hommage affectueux à la chanson française d'avant les yéyés, une époque pas si lointaine dans laquelle ont vécu nos parents et grands-parents. C'est effectivement une fantaisie musicale qui vous embarque immédiatement dans un monde dont on ressort délicieusement éclaboussé d'émotions et joyeusement émoustillé par l'énergie débordante. J'ai beaucoup ri : Benjamin Bollen et Isa Fleur sont incandescents. On ne s'ennuie pas une seule seconde : on s'amuse, on chante, on danse et, surtout, on fait la farandole ! J'ai été très émue de découvrir et redécouvrir des chansons pour lesquelles j'ai beaucoup d'affection et qui méritent d'être mises en lumière. Je souhaite à L'Homme de Riom de brûler les planches pendant de longues années ! Une fantaisie musicale qui laisse rêveur, avec des mélodies et des souvenirs pleins la tête. Merci beaucoup ! N'hésitez pas : foncez ! Car, après tout, il vaut mieux rire que d'attraper la scarlatine !

On passe un superbe moment, on rigole et on se laisse entraîner par les chansons. La chanson française et l'homme de Riom se complètent parfaitement, dépêchez-vous d'aller les voir !

Ayant vu l'opus précédent, j'ai couru voir celui-ci. Mon enthousiasme est intact. C'est drôle, original, inventif! Isa Fleur (piano et chants) et Benjamin Bollen (chants et écriture du spectacle) sont capables de nous faire rire avec un jeu formidable de comédie, tout droit sorti d'une ambiance des années 50. Au cinéma il y a OSS 117, au théâtre, il y a "L'homme de Riom".

Si vous cherchez une manière parfaite d'égayer votre dimanche après-midi, cette pièce est le remède idéal contre la morosité. Dès les premières minutes, l'humour grivois et assumé installe une ambiance complice, irrésistiblement drôle et libératrice. Les dialogues savoureux, mêlés à des chansons, créent un mélange explosif qui emporte le public dans un pur moment de joie. Les comédiens, éblouissants de talent, s'amusent visiblement autant que les spectateurs. Leur énergie débordante est communicative. Les personnages, hauts en couleur, captivent par leur excentricité, tout en restant profondément humains et attachants. Cette pièce n'est pas seulement un divertissement : c'est une bulle d'oxygène, un moment suspendu où tout semble plus léger, plus joyeux. Allez-y les yeux fermés, et laissez-vous emporter par ce véritable concentré de bonne humeur !

L'epoustouflante fin de la formidable épopée de cet homme de Riom haut en couleur ! L'énergie et la bonne humeur y sont à leur paroxysme. C'est simple, j'ai mal à la mâchoire tellement j'ai ri et souri ! C'est dommage que ce soit la fin mais eh... 🎶ça vaut mieux que d'attraper la scarlatine !! 🎶 Bravo Benjamin et bravo Isa !

Un troisième opus qui conclut cette belle trilogie de haute volée ! Bravo aux comédiens qui ont une vrai complicité dans leur jeu. Beaucoup de belle chanson, d’humour et de belles surprises ! Une pièce qui mériterait les yeux fermés d’être joué et rejoué pendant très longtemps ! Et vive la farandole !

On en sort ma fille et moi et sommes tellement heureux d'avoir vu, vécu, partagé ce spectacle, car c'est un spectacle, ce spectacle dis-je, incroyable, merveilleux, joyeux, extra ordinaire. Quel talent Benjamin et Isa. Quel écriture incroyable, quelle mise en scène intelligente, efficace, solaire, lumineuse. Ça fait une éternité que je n'ai pas vu une pièce d'une aussi grande qualité, d'une époustouflante sincérité, tellement parlée, déjouée. Courrez, volez voir ce que c'est que le talent de A à Z. Merci pour ce moment magique, merci merci, merci.